Après les routes traversant des banlieues urbanisées à la va-trop-vite, les barres d'immeubles, les réseaux ferrés, les larges avenues sans piétons, tout à coup, au détour d'un rond point, un univers dedalique de chemins de totale campagne : champs, routes étroites sans noms et tout juste asphaltée. Et soudain, au fond du chemin Port Courcel qui tombe dans la Seine : le chateau de Vigneux.
C'était hier, c'était magique, c'était une journée emplie de révélations qui sonnaient comme des évidences, vous savez, celles que l'on ne voient pas et qui pourtant ne se cachent pas.
Merci à Alain pour tout ce qu'il a commencé à nous transmettre !
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